Nord-Kivu : Cyclo Club, la toute première équipe de cyclisme de Butembo en gestation
Le cyclisme comme discipline sportif peine à décoller en ville de Butembo. Manque d’infrastructures routières adéquates et manque d’intérêts pour
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Lire la suiteGrève des opérateurs économiques du secteur pharmaceutique à Butembo, l’Etat appelé à jouer son rôle de régulation. Invitation du Chef
Lire la suiteLe leader pygmée Alinga Jean-Pierre Teto regrette d’abord le fait que les propriétaires de la forêt, les pygmées, ne vivent plus dans leur milieu naturel. Ce qui fait qu’ils n’ont plus accès aux produits forestiers qui pourtant, dans un passé proche, garantissaient leur vécu quotidien. «La première cause de cette rareté même de magungu est la guerre ; mais aussi la déforestation fait disparaître ces produits. La population coupe les lianes de Mbili, les arbustes de kadika, de ngongolio,… Nous n’y avons plus accès depuis le début de la guerre.», déplore-t-il.
Lire la suiteCes larges feuilles vertes de la longueur d’un bras et de la largeur d’un pas ou plus sont recherchées à Kisangani, Kinshasa comme à Beni et Bunia. Et cela pour une raison particulière. Ils sont principalement utiles pour l’emballage de la chikwangue, ce pain congolais fait à base de manioc fermenté. Cuits dans ces feuilles, la chikwangue a toujours une saveur exquise que l’on ne saurait comparer à ceux cuits dans les sachets ou autres emballages.
Lire la suiteDu nom scientifique ‘Gnetum africanum’, le mfumbwa est une plante de la forêt tropicale. Ce produit non ligneux préparé avec
Lire la suiteCes produits forestiers ont une caractéristique commune : ils poussent naturellement dans la forêt et ne sont pas encore cultivables, en RDC. Ils deviennent de plus en plus rares car menacés par l’insécurité, l’agriculture tant familiale qu’industrielle, l’exploitation forestière ainsi que la démographie galopante. Par contre, leurs premiers bénéficiaires pensent qu’ils sont éternels et ne s’en soucient presque pas. Car, pour beaucoup d’entre eux, ce sont des bénédictions divines qui poussent naturellement. « Dieu ne peut pas permettre que ça disparaisse.», réagit énergiquement une dame éprise du thé amère de noix de Kola à Oïcha. « Ils poussent naturellement. Il suffit juste de patienter un mois et ils repoussent », explique une dame vendeuse de magungu (Megaphrynium macrostachyum) au marché de Kilokwa en ville de Beni.
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