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Butembo : Pourquoi choisir l’Université Catholique du Graben ? Jean Paul Baraka, Président des étudiants de l’UCG répond

La réponse est sans équivoque. L’UCG est une étiquète de la qualité certifiée et collée au front de chaque étudiant vue l’éminence des enseignants et des outils de recherches mis à la disposition des apprenants. Hervé Mukulu l’a rencontré après la défense de son mémoire en gestion financière, voici le condensé de leur entretien.

Après cinq années de dur labeur au sein de l’Université Catholique du Graben, Jean Paul Baraka Milonde est fier de son parcours dans cette pépinière du savoir nous fait-il savoir. Car l’Université Catholique du Graben est symbole de la qualité.

« Nous sommes la référence de la qualité. Quand on parle de l’UCG, je vois un peu une étiquette de la qualité au front de l’étudiant. Une université où les étudiants sont des acteurs principaux s’assument et sont fier de leur université. », explique JP Baraka.

Des professeurs permanents et invités, tous les ingrédients sont présents pour former les pépites du développement de la région ajoute-il.

« La qualité dont je parle se dénote par plusieurs critères. On partir par exemple de la qualité du corps académique. J’ai fait un parcours de G1 à L2 et je me sens fiers car j’ai été enseigné par des professeurs permanents. Ils sont présents dans plusieurs facultés. Et dans les filières où l’on n’a pas, on en invite des émérites. Et l’aspect se concrétise par les différents laboratoires, centres et fermes expérimentaux à la disposition des étudiants.», argumente-t-il

En effet, les étudiants en médecine ont à leurs dispositions des laboratoires modernes en plus des cliniques universitaires ayant des spécialités que l’on ne trouve qu’à Butembo dans l’Est de la RD Congo.

Mêmement pour les étudiants en sciences pharmaceutiques qui utilisent ce laboratoire pour fabriquer des médicaments et autres produits de transformation.

 Les étudiants en médecine vétérinaires utilisent aussi ces laboratoires modernes, en plus d’une ferme pilote. Ceux des sciences agronomiques ont, en plus des laboratoires, des espaces des champs expérimentaux suffisant pour les pratiques.

 Les futurs juristes et politologues ont des centres d’études comme le CEJA et l’ODAG, qui ont la confiance des différents partenaires internationaux vue la qualité des recherches qu’ils produisent. Ils sont dotés des bibliothèques spécialisées.

Les économistes formés avec l’appui du Centre de Recherches en Economie et Développement. Les nouvelles facultés comme les polytechniques bénéficient de l’accompagnement des nouvelles technologies qui leur permettent d’être à la pointe de l’invention.

Jean-Paul Baraka Milonde ajoute que la qualité de l’UCG se prouve par son rayonnement. Les ressortissants de l’UCG sont des acteurs clés des tous les secteurs au niveau local que provincial conclu-t-il.

HERVE MUKULU

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