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Butembo : une structure des jeunes s’engage à lutter contre les infox sur les épidémies à travers les réseaux sociaux

Butembo : une structure des jeunes s’engage à lutter contre les infox sur les épidémies à travers les réseaux sociaux

A Butembo, une structure des jeunes s’engage à prévenir les épidémies dont celle de la maladie à virus Ebola. Dénommé jeunes blogueurs, ces jeunes luttent contre les fausses informations sur Ebola et sensibilisent sur les bonnes pratiques hygiéniques. La Voix de l’UCG vous présente cette structure en marge de la célébration de la journée mondiale de la préparation aux épidémies qui se célèbre le 27 décembre de chaque année.

Ils sont environ 20, ces jeunes volontaires qui se sont engagés à rester actifs sur les réseaux sociaux pour faire bloc contre les fake news propagées sur les réseaux sociaux à propos de l’épidémie de la maladie à virus Ebola qui se vit en Ouganda après des épisodes récurrents en RDC. Selon monsieur Happy Kathina, membre de cette association, l’objectif est de fournir à  la communauté des bonnes informations.

« C’est depuis la semaine passée que nous avons eu à mettre en place une structure des jeunes blogueurs qui auront pour mission de lutter contre les fausses informations qui circulent sur les réseaux sociaux beaucoup plus sur la maladie à virus Ebola qui se vit en Ouganda depuis quelques mois. Le rôle de ces blogueurs est de chaque fois contrecarrer ces infox une fois détectées pour permettre à la communauté d’avoir des bonnes informations. A travers cette association nous sensibilisons aussi la communauté sur les bonnes pratiques dans la lutte contre les épidémies. La motivation de la création est de voir comment limiter les fausses informations et données à la communauté les bonnes » a expliqué Happy Kathina.

La journée mondiale de la préparation aux épidémies a été instaurée par les Nations Unies. Elle est une occasion de sensibiliser la communauté mondiale à se doter des systèmes de santé résilients et robustes capables d’atteindre les personnes vulnérables partout où elles se trouvent. 

Ismaël Kabuyaya

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