Le début de l’année académique 2020-2021 est fixé au lundi 14 décembre prochain. Les cours en G 1et en première année pré-polytechniques vont débuter effectivement car les inscriptions se portent bien rassure le Secrétaire Général académique de l’UCG, le Professeur Mulendevu Richard. Il revient sur les avantages de choisir l’Université Catholique du Graben dans un contexte de covid-19.
A l’issue de la réunion préparatoire de la rentrée académique ce lundi 07 décembre, le Professeur Mulendevu Richard souligne que c’est plus qu’une évidence, les cours, pour l’année académique 2020-2021 vont débuter dans toutes les promotions le lundi 14 décembre en respect des instructions du ministère de tutelle. Ainsi, les finalistes doivent se hâter pour ne pas rater le train.
Dans un contexte de l’épidémie du nouveau coronavirus, le Professeur Richard souligne qu’on ne peut faire un meilleur choix que l’UCG qui compte un personnel scientifique de 251 enseignants permanents. Mais aussi les garanties seront données aux visiteurs pour le respect des mesures barrières.
« L’UCG a ses propres enseignants qualifiées dont des professeurs ordinaires, des professeurs, des Professeurs associés. Nous avons un personnel scientifique de qualité, des chefs des travaux et des assistants qui sont sélectionnées dans le strict respect des conditions », rassure le Professeur Docteur Mulendevu Richard. Mais aucune université ne peut se suffire, nous allons ainsi compter sur notre personnel permanant, notre personnel partiel et tous les visiteurs qui vont arriver, ajoute-t-il. Avant de souligner que jusque-là aucun Professeur visiteur n’a émis de doutes sur son arrivée suite au covid 19.
« Ce que nous allons compter toujours avec eux avec cet avantage de pouvoir assurer les cours avec les permanents si la situation s’empirait. Nous avons les moyens d’assurer les cours dans le strict respect des mesures barrières », affirme le secrétaire général académique de l’UCG
En plus l’université Catholique du Graben, c’est sont des auditoires spacieux garantissant de suivre les cours dans les bonnes conditions. C’est une bibliothèque de 125 milles ouvrages dans tous les domaines.
Un patrimoine foncier d’environ 340 hectares regorgeant tout : les auditoires, les champs expérimentaux, la ferme expérimentale de Kalambi, les cliniques universitaires, les laboratoires et les différents centres spécialisés. Autant d’atouts à saisir pour les futurs scientifiques souligne le Professeur Richard Mulendevu.
HERVE MUKULU
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