UCG : vue son utilité, l’école de criminologie a des bonnes perspectives que nous présente l’abbé Claude Mbokani

La troisième promotion va produire des licenciés cette année avec le master qui sera ouvert l’année prochaine ; l’école de criminologie de l’Université catholique du Graben a une très bonne perspective. Forte de la cinquantaine d’étudiants inscrits dans ces trois promotions, le meilleur est à venir car de plus en plus en plus nombreux sont ceux qui comprennent l’utilité de ces études qui se retrouvent au carrefour des plusieurs secteurs. Le secrétaire académique de l’école de criminologie donne la santé de cette filière.

L’actuelle promotion qui va produire   des licenciés  est faite de 7 étudiants. Celles qui suivent donnent  de l’espoir, explique l’abbé Claude Mbokani.

« Aujourd’hui, la première qui est en bac +3, L3  qui va produire des licenciés. Elle a 7 étudiants dont 3 filles; la deuxième a 16 et L1 a 32 étudiants. Avec cette croissance, on doit se dire que la santé de l’école de criminologie est assez bonne. »

Actuellement deux filières sont ouvertes  au fil du temps, les autres seront ouvertes:

« La sécurité intérieure et la criminologie économique et environnementale. Peut-être avec le nombre que nous avons en L1, quand ils vont arriver en L2 où l’on s’oriente, ils pourront choisir aussi les autres filières comme la protection de l’enfant, la gestion des conflits,… »

Actuellement, l’heure est à la sensibilisation et plus d’un manifestent l’intérêt  surtout avec le master qui est en approche. Car ceux qui sont en stage sont aussi de bons ambassadeurs de cette école.

«  Tout dernièrement, ils ont travaillé avec le renseignement militaire. Lorsqu’ils sont en contact avec tous ces mondes, c’est l’occasion de faire connaître l’école. Et ceux qui travaillent déjà on le voit émettre le vœu de venir apprendre  car ils travaillent sans être des professionnels. Quand nous allons ouvrir le master l’année prochaine, il y en a qui viendront soit pour le master soit pour tout le cursus  entier qu’ils rentrent travailler en ayant des outils adéquats. », espère-il. 

L’abbé Claude Mbokani se réjouit du  fait que les filles ont compris que ces études sont faites pour elles. Elles sont en bonne proportion dans toutes les promotions. Car pour des questions sécuritaires, elles sont les mieux placées. Aux autres de leur emboîter le pas.  

Hervé Mukulu

Share this content:

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *